Je suis régulièrement approchée par des personnes qui recherchent une approche alternative à une psychothérapie. Et ce pour plusieurs raisons.
Il y a des parents dont les enfants ne veulent pas, ou plus, aller voir une psy (psychologue ou psychothérapeute).
Il y a des enfants, adolescents ou adultes qui ne sont pas à l’aise avec la parole. En 3 phrases, la situation est expliquée. Que dire de plus ?
Il y a celles et ceux qui ont bénéficié d’un accompagnement durant une période plus ou moins longue. Cela leur a convenu. Cette pratique les a aidé le temps nécessaire. Ils souhaitent passer à une autre étape, et cela passe parfois par un changement de personne, d’approche, de lieu.
Il y a des personnes qui ne souhaitent pas suivre une thérapie, ni faire appel à une approche thérapeutique : « je ne suis pas malade ».
Il y a celles et ceux pour qui le mot « psy » fait peur. Ou, dans une moindre mesure, ne leur convient pas.
Il y a celles et ceux qui rencontrent un blocage. Parler, aller voir un psy… rien n’a servi jusque là. Ou ils se retrouvent, après quelques séances, dans une impasse.
Il y a les désespérés, ceux qui se sentent impuissants, les incompris.
Il y a les amoureux des animaux.
Les hypersensibles.
Ceux qui cogitent trop… alors parler intensifie cette cacophonie intérieure… c’est encore pire !
Ceux qui manquent d’ancrage. Flottent sur un petit nuage. Ont besoin d’un côté terre à terre, dans la matière.
Quelque soit la raison de ne pas suivre une psychothérapie, ces personnes recherchent une approche alternative qui peut…
… aller au-delà des mots
… proposer un espace au plus proche de la nature et des animaux
… permettre de dépasser un blocage
… aider sans qu’il y ait besoin de tout dire
… accompagner dans une période difficile, grâce à la grande bienveillance des chevaux
… offrir un grand espace d’apprentissage pour mieux se découvrir, s’épanouir et développer de nouvelles ressources.
Alors, si l’équicoaching ne se substitue pas à un suivi psychologique, cette approche représente une incroyable alternative pour nombre de personnes.
Peut-être est-ce votre cas ?